
Elle est seule. Il fait nuit depuis longtemps. Des frissons la parcoure et ses dents claquent. Elle ne sais plus où elle en est. Elle à mal, mais d'un mal imperceptible par le meilleur des médecin. Elle à mal au cœur. Vraiment. Elle se demande si elle va mourir. Si c'est maintenant que sa vie va prendre fin. C'est bientôt fini. Elle attends que la lumière blanche, si pure, vienne l'éclairer dans ce sombre endroit. Elle attend, et attend encore. Le mal qu'elle ressent s'amplifie de secondes en secondes. Elle attend la seule délivrance qui fera s'envoler ce mal qui la dévore au plus profond de son âme. Tout ce qui arrive là est de sa faute au final. Si les larmes coulent sur ces joues, si ses yeux son gonflés et si elle se sent si mal...Si on peut sentir une odeur d'alcool si forte émaner d'elle, avec une odeur prononcé de tabac c'est de sa faute. De sa faute à lui qui na pas su l'écouter. Sui n'a pas voulu qu'elle lui explique. Lui expliquer qu'elle l'aimerai toujours. Mais il l'a abandonné, seule, sur ce banc public, dans ce jardin si lugubre, au coucher du soleil. Il avait oublier son paquet de cigarettes. Elle avait son briquet. Alors elle en a pris une puis l'a allumé. Elle se sentait plus légère. Elle à continué. Elle a accepter l'alcool de ces inconnus disparus depuis. Elle s'est laissé mourir à petit feu pour ce pauvre mec pas capable d'assumer d'être aimer et, sûrement, d'aimer. Et voilà qu'a présent elle est seule avec pour seule objectif de sentir son âme quitter doucement son âme. Elle a envie de tout quitter, de tout lâcher pour aller se reposer. Elle veut pouvoir rester une éternité, seule, tranquille. Portant, son âme s'accroche malgré elle. Elle tombe. Puis le noir l'envahie. Minuit.A présent , elle voit de la lumière. Elle est éblouie par cette clarté si brutale. Elle entends des voix et on s'agite près d'elle. Un visage s'approche doucement d'elle. Elle distingue mieux les choses à présent. C'est sûrement une interne. Elle semble un peu paniquée mais sa voix et assurée. Elle lui explique. On frappe à la porte. Le jeune femme s'interrompt et lui annonce qu'elle a de la visite. Ses parents ? non. Un jeune homme, effondré depuis des heures, qui est resté devant la porte de cette chambre d'hôpital si sinistre. Il a douté, il a eu peur. Peur que le pire arrive. Mais elle était réveiller à présent il voulait la voir. Lui demander pardon. Elle entendit la grande horloge de la cathédrale sonné midi. Elle inspira profondément et demanda à la jeune interne de le faire entrer. Il apparu dans l'encadrement de la porte. Il avait d'énormes poches sous les yeux. Il lui expliqua qu'il était revenu. Il avait eu tord de partir. Et il l'avait trouvée, étendu sur le sol, inconsciente. Il avait eu peur. Elle pleure. Lui aussi. Il l'a berce doucement dans ses bras. Elle se sent si coupable de lui avoir fait subir tout cela. Lui, il se sentait tellement mal de l'avoir laissée seule dans ce square si lugubre, seule, sans défense, des larmes roulant sur ces joues...Puis, elle reprends la parole, elle lui dit qu'elle est désolée, il lui répond que c'est de sa faute. Elle met son index sur sa bouche et lui dit dans un murmure à peine audible qu'elle l'aime. Qu 'elle l'aime plus fort que n'importe qui. Les larmes lui remonte aux yeux.